La diplomatie européenne se penchera lundi sur la situation en RDC.
Didier Reynders a rappelé ses deux "préoccupations majeures",
- le démarrage des opérations concrètes pour l'organisation des élections présidentielle et législatives,
- le maintien d'un espace politique ouvert avant ces scrutins, dont la tenue dans les délais constitutionnels apparaît de plus en plus improbable.
L'envoyée spéciale britannique pour la région des Grands Lacs, Danae Dholakia, avait affirmé la semaine dernière que Londres et ses partenaires européens envisageaient des sanctions ciblées contre des responsables d'actes de répression politique en RDC, en faisant référence aux ennuis judiciaires de Moise Katumbi.
L'envoyée spéciale de Londres dans la région des grands lacs, s'interroge sur "l'engagement des autorités de la RDC de tenir le dialogue annoncé et d'organiser des élections".