Lisanga Bonganga appelé à comparaitre pour faits infractionnels (Parquet)
Justice
le 24/10/2019 à 08h39
Un mandat de comparution a été adressé à l’ancien ministre de relations avec le Parlement, mercredi, par le Parquet général près la Cour d’appel de Kinshasa "pour y être entendu sur des faits infractionnels lui imputés", a appris TOP CONGO FM.
D’après ce document, l’ex élu de Kinshasa (mandature 2006-2012) devrait se présenter au Palais de justice, lundi 28 octobre prochain à 11 heures précises, devant l’officier du ministère public près la Cour d’appel de Kinshasa, Kuminga kabongo.
Ce mandat de comparution souligne que "faute de ce faire [de devoir se présenter, l'ancien ministre] y sera contraint conformément à la loi".
Sur ce même document, il a été mentionné à l’aide d’un stylo à l’encre bleu: "Arrivée à 15h10, le mandat de comparution [a été] reçu par une policière de la garde de [Lisanga Bonganga] ainsi que sa fille. [Celle-ci] a accepté de signer mais se réserve de mettre le nom et la date".
Lors d’une sortie médiatique, le 12 septembre dernier, l’ancien ministre du gouvernement Tshibala avait affirmé que c'est Martin Fayulu qui avait remporté la présidentielle du 30 décembre 2018 et laissé entendre qu’il rejoignait son combat pour la vérité des urnes.
L’actuel chef de l’État, Félix Tshisekedi, avait alors été qualifié de "Président de la République nommé et fruit d’un braquage électoral".
D’après ce document, l’ex élu de Kinshasa (mandature 2006-2012) devrait se présenter au Palais de justice, lundi 28 octobre prochain à 11 heures précises, devant l’officier du ministère public près la Cour d’appel de Kinshasa, Kuminga kabongo.
Ce mandat de comparution souligne que "faute de ce faire [de devoir se présenter, l'ancien ministre] y sera contraint conformément à la loi".
Sur ce même document, il a été mentionné à l’aide d’un stylo à l’encre bleu: "Arrivée à 15h10, le mandat de comparution [a été] reçu par une policière de la garde de [Lisanga Bonganga] ainsi que sa fille. [Celle-ci] a accepté de signer mais se réserve de mettre le nom et la date".
Lors d’une sortie médiatique, le 12 septembre dernier, l’ancien ministre du gouvernement Tshibala avait affirmé que c'est Martin Fayulu qui avait remporté la présidentielle du 30 décembre 2018 et laissé entendre qu’il rejoignait son combat pour la vérité des urnes.
L’actuel chef de l’État, Félix Tshisekedi, avait alors été qualifié de "Président de la République nommé et fruit d’un braquage électoral".
Eric Lukoki
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