Le Royaume-Uni accueillera le Sommet d’Investissement Britannico-Africain à Londres. 

Organisé par le Premier Ministre britannique, il réunira des chefs d’états et de gouvernement africains, des entreprises et des institutions internationales « pour mettre en valeur et promouvoir l’ampleur et la qualité des possibilités d’investissement en Afrique », annonce l’Envoyé du Sommet d’Investissement Britannico-Africain.

« Ce sommet aura pour objectifs de conclure des accords d’investissement portant sur des projets ayant un impact positif sur l’environnement, de créer des emplois grâce à de nouveaux partenariats et de présenter l’offre unique du Royaume-Uni à l’Afrique » dit aussi Philip Parham.

Il sera l’occasion « pour le Rotaume-Uni, les gouvernements africains ainsi que les représentants du secteur privé de réfléchir conjointement sur les moyens de financement durable permettant une meilleure transition vers à un mix énergétique idéal tout en subvenant aux besoins énergétiques des populations ».

Les prix’ copeaux secteurs qui devraient bénéficier de ce sommet sont les énergies renouvelables, l’infrastructure, la finance durable, l’industrie et l’agro-alimentaire.

« Le Royaume-Uni a beaucoup à offrir en termes d’investissements notamment à travers la ville de Londres qui se veut une porte d’entrée financière mondiale pour les investissements de par les niveaux d’expertise et d’innovation qui la caractérisent ».

Une conférence spéciale sur la RDC

Le président Tshisekedi prendra part à ce sommet avant de prendre part à un autre grand sommet, celui de Davos (Suisse).

« La RDC, via l’agence nationale pour la promotion des investissements, ANAPI, aura un stand à Londres, il y aura aussi, le 21 janvier une conférence sur les potentialités d’investissements en RDC », annonce la présidence de la république.

« Les énergies renouvelables seront particulièrement mises en avant, on va aussi présenter les avancées déjà réalisées en RDC en matière d’assainissement sur l’environnement des affaires », ptecise de son côté, Anthony Nkinzo, le directeur général de l’ANAPI.