Vers la gestion inclusive de la transition?
Politique
le 19/01/2017 à 16h02
Le camp du premier ministre Samy Badibanga en fait, avec des délais précis sur la tenue des prochaines élections, ses conditions minimales pour adhérer à l'accord du 31 décembre.
Ils l'ont dit aux évêques qu'ils ont rencontré "pour continuer les échanges et approfondir le sujet", a dit à TOP CONGO FM, le Ministre d'état Jean-Lucien Busa.
"Nous voulons que les élections se tiennent dans des dates précises connues à l'avance. Je pense que ces questions devraient être réglées dans l'arrangement particulier"
Que chacun prenne date
"La question de la gestion inclusive de la période après le 19 décembre 2016 exige que toutes les composantes trouvent des réponses à leurs préoccupations. Il a été dit dans l'accord du 31 décembre que le Rassemblement et donc le président Tshisekedi assurait la présidence du Conseil national de suivi de l'accord, une Institution d'appui à la démocratie. Le Rassemblement donc a une réponse à la question de la gestion de l'inclusivité après le 19 décembre. Lorsque vous lisez cet accord de bout en bout, vous ne trouvez pas la réponse à cette question d'inclusivité donnée à l'opposition politique signataire de l'accord qui, aujourd'hui, a la Primature", estime Jezn-Lucien Busa.
Pour qui, "l'inclusivité vue sous cet angle" doit être considérée en termes de réponses définitives pour chaque composante politique à avoir droit au chapitre au "contrôle croisé nécessaire pour la mise oeuvre parfaite de cet accord".
"Je dirais tout simplement qu'il est clair que si nous sommes fixés sur la date de la tenue des élections, nous devons être fixés ensemble sur ce qu'on attend par gestion inclusive. C'est la période après le 19 décembre 2016".
Fin de non recevoir côté Rassemblement
"Ces discussions deviennent stériles", estime Freddy Matungulu.
"Ce que nous voulons c'est qu'il y ait très rapidement un gouvernement qui va prendre en charge la gestion de tous les problèmes auxquels nous sommes confrontés" .
Pour ce membre du collège des sages du Rassemblement,étant donné que tout est prévu dans l'accord du 31 décembre, "il faut mettre un terme à toutes ces discussions qui commencent à devenir un peu stériles. Qu'on mette en place le gouvernement. Dans tous les pays, les affaires d'État sont gérées par un gouvernement. Cet accord ne peut pas nous donner des solutions à tous les problèmes auxquels nous sommes confrontés".
Il rappelle que l'accord du 31 décembre "dit clairement que la Primature revient à l'opposition qui n'a pas été aux discussions de la cité de l'Union africaine et précisément au Rassemblement".
Ils l'ont dit aux évêques qu'ils ont rencontré "pour continuer les échanges et approfondir le sujet", a dit à TOP CONGO FM, le Ministre d'état Jean-Lucien Busa.
"Nous voulons que les élections se tiennent dans des dates précises connues à l'avance. Je pense que ces questions devraient être réglées dans l'arrangement particulier"
Que chacun prenne date
"La question de la gestion inclusive de la période après le 19 décembre 2016 exige que toutes les composantes trouvent des réponses à leurs préoccupations. Il a été dit dans l'accord du 31 décembre que le Rassemblement et donc le président Tshisekedi assurait la présidence du Conseil national de suivi de l'accord, une Institution d'appui à la démocratie. Le Rassemblement donc a une réponse à la question de la gestion de l'inclusivité après le 19 décembre. Lorsque vous lisez cet accord de bout en bout, vous ne trouvez pas la réponse à cette question d'inclusivité donnée à l'opposition politique signataire de l'accord qui, aujourd'hui, a la Primature", estime Jezn-Lucien Busa.
Pour qui, "l'inclusivité vue sous cet angle" doit être considérée en termes de réponses définitives pour chaque composante politique à avoir droit au chapitre au "contrôle croisé nécessaire pour la mise oeuvre parfaite de cet accord".
"Je dirais tout simplement qu'il est clair que si nous sommes fixés sur la date de la tenue des élections, nous devons être fixés ensemble sur ce qu'on attend par gestion inclusive. C'est la période après le 19 décembre 2016".
Fin de non recevoir côté Rassemblement
"Ces discussions deviennent stériles", estime Freddy Matungulu.
"Ce que nous voulons c'est qu'il y ait très rapidement un gouvernement qui va prendre en charge la gestion de tous les problèmes auxquels nous sommes confrontés" .
Pour ce membre du collège des sages du Rassemblement,étant donné que tout est prévu dans l'accord du 31 décembre, "il faut mettre un terme à toutes ces discussions qui commencent à devenir un peu stériles. Qu'on mette en place le gouvernement. Dans tous les pays, les affaires d'État sont gérées par un gouvernement. Cet accord ne peut pas nous donner des solutions à tous les problèmes auxquels nous sommes confrontés".
Il rappelle que l'accord du 31 décembre "dit clairement que la Primature revient à l'opposition qui n'a pas été aux discussions de la cité de l'Union africaine et précisément au Rassemblement".