Le gouvernement rejoint la CENCO
Politique
le 24/01/2017 à 18h30
Absents du centre interdiocesain depuis la formation du gouvernement, Azarias Ruberwa, José Makila et Jean-Lucien Busa, aujourd'hui vice premier ministres et Ministre d'état, ont annoncé qu'ils reviennent à la table des négociations.
Samy Badibanga va-t-il signer l'accord?
"Nous nous sommes convenus de reprendre les travaux. Ce qui nous intéresse c'est que les Congolais et le Congo se retrouvent dans ce que nous faisons comme politique", s'est contenté de déclarer à TOP CONGO FM, José Makila Sumanda.
Refusant de dire si le premier ministre adhére à l'accord du 31 décembre, il s'est contenté de la formule laconique, "nous n'avons aujourd'hui pas d'autres commentaires à faire mais nous allons participer aux travaux jusqu'à la fin".
Démission indispensable
À moins d'être reconduit à son poste par le Rassemblement, Samy Badibanga doit quitter la primature.
Selon la constitution, seules une démission ou une destitution par l'assemblée nationale qui l'a investi, peut permettre au Rassemblement de voir son premier ministre entrer en fonction.
Le fait que le camp du premier ministre avait qualifié l'accord de la CENCO d'anticonstitutionnel et non inclusif, laisser présager qu'il ne céderait pas son siège.
Leur retour au centre interdiocesain intervient le jour où les délégués commencent à aborder l'épineux sujet de la désignation du premier ministre et de la répartition des portefeuilles au sein du futur gouvernement.
Samy Badibanga va-t-il signer l'accord?
"Nous nous sommes convenus de reprendre les travaux. Ce qui nous intéresse c'est que les Congolais et le Congo se retrouvent dans ce que nous faisons comme politique", s'est contenté de déclarer à TOP CONGO FM, José Makila Sumanda.
Refusant de dire si le premier ministre adhére à l'accord du 31 décembre, il s'est contenté de la formule laconique, "nous n'avons aujourd'hui pas d'autres commentaires à faire mais nous allons participer aux travaux jusqu'à la fin".
Démission indispensable
À moins d'être reconduit à son poste par le Rassemblement, Samy Badibanga doit quitter la primature.
Selon la constitution, seules une démission ou une destitution par l'assemblée nationale qui l'a investi, peut permettre au Rassemblement de voir son premier ministre entrer en fonction.
Le fait que le camp du premier ministre avait qualifié l'accord de la CENCO d'anticonstitutionnel et non inclusif, laisser présager qu'il ne céderait pas son siège.
Leur retour au centre interdiocesain intervient le jour où les délégués commencent à aborder l'épineux sujet de la désignation du premier ministre et de la répartition des portefeuilles au sein du futur gouvernement.
