Pas d'augmentation des prix du transport en commun à Kinshasa (ministre)
Qui rappelle que « les chauffeurs sont nos partenaires. Meme si le phénomène demi-terrain est dû aux embouteillages, cette pratique est interdite ».
Le ministre annonce qu’il y a, dand la ville de Kinshasa « 300.000 taxis et taxi-bus, 38 parkings et 134 parkings urbains ».
Contrôle technique obligatoire
Les documents obligatoires à l’usager de la route sont « la carte rose, l'assurance et le contrôle technique ».
Malgré le fait qu’il y a peu de centres de contrôle technique, « 8 centres de contrôle technique à Kinshasa, capables d'accueillir chacun 50 véhicules par jour », le ministre provincial rappelle « qu’il ne faut pas se contenter d'acheter les documents dits mais amener son véhicule au contrôle pour être sur de son état général ».
Honore Mbokoso s’insurge contre ceux qui se procurent des faux document
« Maintenant, nous faisons des imprimés de valeurs sécurisés pour contrer ces faux documents. Sinon, nous avons à peu près 103 fourrières à Kinshasa », prévient il même s’il reconnaît qu’effectuer le contrôle à tous les véhicules circulant dans la capitale est un défi.
Tout comme faire passer « tous les véhicules de la Présidence, du Sénat et Assemblée Nationale au contrôle technique. Si je réussis cet exploit, je ne vois pas pourquoi le petit peuple ne le fera pas ».
4 millions de francs de taxes par jour
« Quand je suis arrivé, j'ai trouvé (des recettes de l’ordre de ) 470.000 francs congolais par mois. Je réalise aujourd'hui 4 millions par jour. Mon objectif est de faire au moins 15 millions. Nous avons déjà récolté cet argent pendant 3 mois ».
Le ministre encourage les conducteurs à payer « la taxe de stationnement fixée à 500 francs par jour », et s’engage à « assainir le secteur des Transports ».
Barick Bwematelwa