"La RDC a besoin d’une MONUSCO à l’image de la brigade d’intervention rapide" (Tshisekedi/ONU)
Politique
le 26/09/2019 à 20h43
"La RDC a encore besoin de la MONUSCO mais non pléthorique, mieux équipée, forte et dotée d’un mandat adapté à l’image de la brigade d’intervention rapide qui avait, jadis, aidé à mettre en déroute le mouvement rebelle du M23", a déclaré Félix Tshisekedi, ce jeudi, du haut de la tribune de la 74eme Assemblée générale des Nations-Unies à New York.
Le chef de l’État a noté , "en convergence de vues avec le Secrétaire général de l’Onu", "l’urgence d’adapter la configuration de l’évolution de la situation sur le terrain en concentrant davantage les efforts sur les capacités d’interventions opérationnelles des forces onusiennes, aux cotés des forces armées de la République démocratique du Congo".
Il a tenu à "réitérer les remerciements du peuple congolais aux pays contributeurs pour les sacrifices humains et matériels consentis jusqu’à ce jour en faveur de [la RDC]".
La Mission des Nations-unies pour la stabilisation de la République démocratique du Congo (Monusco), arrive en RDC en 1999 à la suite la résolution 12792 du Conseil de sécurité. À l'époque, sous son ancienne appellation MONUC (Mission des Nations-unies au Congo) à pour mandat le maintien de la paix dans un pays qui vit la "deuxième guerre du Congo".
En juillet 2010 intervient le changement de son mandat et par conséquent, de sa dénomination. La désormais MONUSCO est dotée, 3 ans après, d’une Brigade d’intervention sur demande du Secrétaire général de l’ONU de l'époque, Ban Ki-Moon, afin "d’imposer la paix".
Forte de ses 3 000 hommes environ, cette force spéciale constituée notamment des militaires tanzaniens et sud-africains est déployé essentiellement dans la province du Nord-Kivu qui fait face aux multiples groupes armés étrangers et locaux.
Un déploiement qui permettra "la mise en déroute le mouvement rebelle du M23".
Le chef de l’État a noté , "en convergence de vues avec le Secrétaire général de l’Onu", "l’urgence d’adapter la configuration de l’évolution de la situation sur le terrain en concentrant davantage les efforts sur les capacités d’interventions opérationnelles des forces onusiennes, aux cotés des forces armées de la République démocratique du Congo".
Il a tenu à "réitérer les remerciements du peuple congolais aux pays contributeurs pour les sacrifices humains et matériels consentis jusqu’à ce jour en faveur de [la RDC]".
La Mission des Nations-unies pour la stabilisation de la République démocratique du Congo (Monusco), arrive en RDC en 1999 à la suite la résolution 12792 du Conseil de sécurité. À l'époque, sous son ancienne appellation MONUC (Mission des Nations-unies au Congo) à pour mandat le maintien de la paix dans un pays qui vit la "deuxième guerre du Congo".
En juillet 2010 intervient le changement de son mandat et par conséquent, de sa dénomination. La désormais MONUSCO est dotée, 3 ans après, d’une Brigade d’intervention sur demande du Secrétaire général de l’ONU de l'époque, Ban Ki-Moon, afin "d’imposer la paix".
Forte de ses 3 000 hommes environ, cette force spéciale constituée notamment des militaires tanzaniens et sud-africains est déployé essentiellement dans la province du Nord-Kivu qui fait face aux multiples groupes armés étrangers et locaux.
Un déploiement qui permettra "la mise en déroute le mouvement rebelle du M23".
Eric Lukoki
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