Le saut-de-mouton de Pompage sera livré à l'État au mois d'octobre (Ngoopos)
RDC
le 28/09/2019 à 19h57
"À entendre les ingénieurs du site, on me dit que ce site pourra être livré au mois d’octobre, au plus tard à la fin du mois d’octobre", a dit déclaré le vice-premier ministre, ministre des Infrastructures et travaux publics après sa visite, dans la nuit de vendredi 27 septembre, du saut-de-mouton en construction au rond-point Pompage, dans la commune de Ngaliema, située dans la partie Ouest de la capitale.
"Si vous voyez que ma présence, au lieu que ça soit la journée, c’est plutôt la nuit, c’est un message, parce que j'ai voulu que tous les chantiers soient comme nous voyons partout ailleurs. En Europe, en Afrique, dans d’autres pays, les chantiers commencent à certains moments. Il y a des équipes qui travaillent le jour et les autres la nuit de façon à ce qu’un travail, qui est prévu pour une année, puisse faire une année et non deux ans. Voilà pour pourquoi je me suis déplacé la nuit", argumente Willy Ngoopos.
Quant à la problématique de l’aménagement du carrefour, du parking et passage pour piétons, qui nécessite une expropriation partielle des bâtiments alentours dont un immeuble et station service, "s’il y a de petites choses qui restent à faire, l’État sera l’État, a indiqué Willy Ngoopos.
"Je crois qu’il y a eu des études avant que ce travail ne commence. Ce sont des spécialistes. Ce sont des personnes qui ont étudié. Ils devaient avoir pris en compte l’environnement dans lequel ils étaient en train de lancer cet ouvrage. Ça n’est pas à la fin qu’on doit dire qu’il y a quelque chose que nous avons constatée. Il y a un canevas, un schéma qui a été fait pour qu’on puisse lancer ce saut-de-mouton. Qu’est-ce que vous voulez? L'ouvrage est presque terminé", a-t-il semblé regretter.
C'est en principe à la fin de ce mois de septembre que le premier saut-de-mouton de la ville de Kinshasa aurait dû être livré à l’État par l'entreprise chinoise Crec 8.
"Si vous voyez que ma présence, au lieu que ça soit la journée, c’est plutôt la nuit, c’est un message, parce que j'ai voulu que tous les chantiers soient comme nous voyons partout ailleurs. En Europe, en Afrique, dans d’autres pays, les chantiers commencent à certains moments. Il y a des équipes qui travaillent le jour et les autres la nuit de façon à ce qu’un travail, qui est prévu pour une année, puisse faire une année et non deux ans. Voilà pour pourquoi je me suis déplacé la nuit", argumente Willy Ngoopos.
Pour e Vice-premier ministre, "c'est un message que je suis en train de lancer à tous les constructeurs, à toutes les personnes qui ont obtenu des marchés pour les sauts-de-mouton", qui se dit "rassuré" de l’avancement suffisant des travaux.
Quant à la problématique de l’aménagement du carrefour, du parking et passage pour piétons, qui nécessite une expropriation partielle des bâtiments alentours dont un immeuble et station service, "s’il y a de petites choses qui restent à faire, l’État sera l’État, a indiqué Willy Ngoopos.
"Je crois qu’il y a eu des études avant que ce travail ne commence. Ce sont des spécialistes. Ce sont des personnes qui ont étudié. Ils devaient avoir pris en compte l’environnement dans lequel ils étaient en train de lancer cet ouvrage. Ça n’est pas à la fin qu’on doit dire qu’il y a quelque chose que nous avons constatée. Il y a un canevas, un schéma qui a été fait pour qu’on puisse lancer ce saut-de-mouton. Qu’est-ce que vous voulez? L'ouvrage est presque terminé", a-t-il semblé regretter.
C'est en principe à la fin de ce mois de septembre que le premier saut-de-mouton de la ville de Kinshasa aurait dû être livré à l’État par l'entreprise chinoise Crec 8.
"Nous pouvons encore donner une rallonge. C'est un travail technique. On peut encore peut-être aller jusque mi-novembre. Nous avons promis à la population qu’à la fin de cette année, [que cet ouvrage et d’autres seront] terminés", a prévenu le Vice-Premier ministre, ministre des infrastructures et travaux publics, question sans doute, de relâcher un peu la pression sur la firme chinoise.
Eric Lukoki
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