Report de la fin des discussions à la CENCO
Politique
le 30/12/2016 à 16h00
La cellule de communication de la CENCO vient de demander aux journalistes de revenir à 20h, la plénière prévue à 14h est reportée.
"Il ne reste qu'un point de blocage, la question de la Primature", annonce un évêque.
Qui rassure qu'accord "est toujours possible, Ca dépend de ce qui va se passer dans la salle".
Folle journée.
Alors que les protagonistes, notamment du rassemblement, prédisaient un échec des pourparlers, quelle ne fut pas la surprise des journalistes d'assister à l'arrivée des ambassadeurs au centre interdiocesain "pour la cérémonie de signature de l'accord".
L'espoir revoyait alors le jour, renforcé par la mise en place de la chorale, "nous nous sommes préparés à la cérémonie", disait même l'abbé Shole, Secretaire général intérimaire de la conférence épiscopale.
Arrivée du président de l'assemblée nationale.
Après une ultime réunion en bilatéral entre les délégués, on pouvait alors penser que les négociations étaient allés jusqu'au bout.
Les délégués en format 8+8 avaient même commencé à adopter, article par article, le texte du compromis.
Et puis...
Et puis, ce report.
"S'ils ne se mettent pas d'accord aujourd'hui, il n'y arriveront jamais. Demain, on rentre dans nos paroisses" a prévenu Mgr Ambongo.
Qui reconnaît qu'il y a "des cas qui peuvent être réglés avant la signature de l'accord et d'autres, par le futur gouvernement (notamment celui de Moïse Katumbi)".
Depuis plusieurs jours les négociations bloquaient notamment sur
- Décrispation du climat politique
- Gestion des institutions pendant la transition (gouvernement, haut conseil de la transition)
- Refonte de la CENI, commission électorale nationale indépendante
"Il n'y aura pas de report"
"S'il n'y a pas de compromis entre politiciens, nous en tirerons les conclusions et prendrons le peuple à témoins", a dit à TOP CONGO FM, Mgr Fridolin Ambongo, évêque de Bikoro.
"Nous n'avons pas le temps et ne sommes pas disposés à prolonger d'un jour ces discussions", prévient encore l'évêque qui n'a pas voulu dire quel est le plan B que la CENCO annonce vouloir appliquer depuis quelques jours.
"Il ne reste qu'un point de blocage, la question de la Primature", annonce un évêque.
Qui rassure qu'accord "est toujours possible, Ca dépend de ce qui va se passer dans la salle".
Folle journée.
Alors que les protagonistes, notamment du rassemblement, prédisaient un échec des pourparlers, quelle ne fut pas la surprise des journalistes d'assister à l'arrivée des ambassadeurs au centre interdiocesain "pour la cérémonie de signature de l'accord".
L'espoir revoyait alors le jour, renforcé par la mise en place de la chorale, "nous nous sommes préparés à la cérémonie", disait même l'abbé Shole, Secretaire général intérimaire de la conférence épiscopale.
Arrivée du président de l'assemblée nationale.
Après une ultime réunion en bilatéral entre les délégués, on pouvait alors penser que les négociations étaient allés jusqu'au bout.
Les délégués en format 8+8 avaient même commencé à adopter, article par article, le texte du compromis.
Et puis...
Et puis, ce report.
"S'ils ne se mettent pas d'accord aujourd'hui, il n'y arriveront jamais. Demain, on rentre dans nos paroisses" a prévenu Mgr Ambongo.
Qui reconnaît qu'il y a "des cas qui peuvent être réglés avant la signature de l'accord et d'autres, par le futur gouvernement (notamment celui de Moïse Katumbi)".
Depuis plusieurs jours les négociations bloquaient notamment sur
- Décrispation du climat politique
- Gestion des institutions pendant la transition (gouvernement, haut conseil de la transition)
- Refonte de la CENI, commission électorale nationale indépendante
"Il n'y aura pas de report"
"S'il n'y a pas de compromis entre politiciens, nous en tirerons les conclusions et prendrons le peuple à témoins", a dit à TOP CONGO FM, Mgr Fridolin Ambongo, évêque de Bikoro.
"Nous n'avons pas le temps et ne sommes pas disposés à prolonger d'un jour ces discussions", prévient encore l'évêque qui n'a pas voulu dire quel est le plan B que la CENCO annonce vouloir appliquer depuis quelques jours.
