Les membres du CLC en insécurité (Tshombela)
« Les membres du Comité laïc de coordination sont dans une situation d'insécurité, y compris nos familles. Il y a des tentatives d'enlèvement des enfants, des gens ont perdu leur emploi », annonce sur TOP CONGO FM, Jonas Tshombela, l'un des membres du Comité laïc de coordination.
Qui indique aussi que « les membres du CLC ont même des difficultés de se mouvoir ».
Appel à l'apaisement,
« Le CLC avait fixé la date du 30 avril comme une date butoir à l’accomplissement de plusieurs préalables à la tenue des élections ».
Parmi celles là, « la question du dédoublement des partis politiques » et la décrispation.
« Nous n'oublions pas les exilés politiques, les prisonniers politiques, les médias qui doivent être ouverts à toutes les tendances mais aussi la restriction aux libertés de manifestation ».
Parmi les membres du CLC figurent les professeurs Isidore Ndaywel (photo) et Thierry Nlandu ainsi que Leonie Kandolo.
Marcel Kitambala