HRW publie sa liste des prisonniers politiques
Justice
le 17/11/2016 à 16h13
29 personnes figurent dans cette liste qui compte des hommes politiques mais aussi des policiers, détenus à Kinshasa, Lubumbashi et Goma.
Selon Human Rights Watch, "cette liste ne comprend que les cas documentés dans le contexte de la répression politique à partir de 2015"
Pour l'organisation internationale de défense des droits de l'homme, "beaucoup d'autres individus ont fait l’objet d’arrestations arbitraires en RD Congo au fil des ans et demeurent en détention, mais nous n'avons pas une liste exhaustive".
29 personnes au total
HRW cite Bruno Tshibala, l'ancien secrétaire général adjoint de l'UDPS, arrêté par la DGM le 9 octobre alors qu'il se rendait à Bruxelles.
"Il est accusé de complot visant à perpétrer un massacre, des actes de pillage et de dévastation, chefs d’inculpation qui semblent être motivés par des considérations politiques. Son procès est en cours".
Les présidents de partis de l'opposition, Jean-Claude Muyambo et Moise Moni Della sont eux aussi détenus, Norbert Luyeye avec 7 membres de son parti.
Totoro Mukenge, président de l’UJCC, arrêté à son domicile le lendemain de la réunion, le 16 septembre 2016.
Lwembe Munika et Mukonde Kapenda, membres de l'UNAFEC sont eux aussi détenus, tout comme 11 autres personnes, dans le cadre de l'enquête contre Moise Katumbi sur le recrutement présumé de mercenaires.
Il s'agit de Yannick Kibinga, Franck Mwashila, Sédu Idi, Gedeon Butandu, Fiston Malanga, Aaron Ngwashi, Augustin Kabamba, Bruno Vumbi, Ndol Tshamundj, Gabriel Tambwe et Philippe Namputu "sont poursuivies pour atteinte à la sûreté de l’État".
Sur les 29 personnes incarcérées, 2 sont à Lubumbashi, Huit Mulongo, ancien directeur de Cabinet de Moïse Katumbi et Ngongo Kassongo, membre de l'UNAFEC et 3 à Goma (Nord-Kivu), Glody Ntambwe, Faustin Dunia et Jacques Muhindo.
Selon Human Rights Watch, "cette liste ne comprend que les cas documentés dans le contexte de la répression politique à partir de 2015"
Pour l'organisation internationale de défense des droits de l'homme, "beaucoup d'autres individus ont fait l’objet d’arrestations arbitraires en RD Congo au fil des ans et demeurent en détention, mais nous n'avons pas une liste exhaustive".
29 personnes au total
HRW cite Bruno Tshibala, l'ancien secrétaire général adjoint de l'UDPS, arrêté par la DGM le 9 octobre alors qu'il se rendait à Bruxelles.
"Il est accusé de complot visant à perpétrer un massacre, des actes de pillage et de dévastation, chefs d’inculpation qui semblent être motivés par des considérations politiques. Son procès est en cours".
Les présidents de partis de l'opposition, Jean-Claude Muyambo et Moise Moni Della sont eux aussi détenus, Norbert Luyeye avec 7 membres de son parti.
Totoro Mukenge, président de l’UJCC, arrêté à son domicile le lendemain de la réunion, le 16 septembre 2016.
Lwembe Munika et Mukonde Kapenda, membres de l'UNAFEC sont eux aussi détenus, tout comme 11 autres personnes, dans le cadre de l'enquête contre Moise Katumbi sur le recrutement présumé de mercenaires.
Il s'agit de Yannick Kibinga, Franck Mwashila, Sédu Idi, Gedeon Butandu, Fiston Malanga, Aaron Ngwashi, Augustin Kabamba, Bruno Vumbi, Ndol Tshamundj, Gabriel Tambwe et Philippe Namputu "sont poursuivies pour atteinte à la sûreté de l’État".
Sur les 29 personnes incarcérées, 2 sont à Lubumbashi, Huit Mulongo, ancien directeur de Cabinet de Moïse Katumbi et Ngongo Kassongo, membre de l'UNAFEC et 3 à Goma (Nord-Kivu), Glody Ntambwe, Faustin Dunia et Jacques Muhindo.
Ils ne veulent pas d'un troisième mandat
HRW indique que "la plupart des personnes figurant sur sa liste avaient dénoncé les tentatives de prolonger le mandat du président Joseph Kabila ou participé à des manifestations pacifiques ou des activités politiques. D’autres étaient suspectées d’avoir des liens avec des dirigeants de l’opposition politique. Ces personnes sont toutes toujours en détention".
Eugene Diomi Ndongala ne figure pas dans cette liste.
Eugene Diomi Ndongala ne figure pas dans cette liste.