Les délégués au dialogue sont tombés sur ce compromis, les élections générales auront lieu en avril 2018.

Le dépôt des candidatures est prévu en octobre 2017.

Selon ce pré-accord, le président de la république reste en fonction jusqu'à l'élection de son successeur et la primature est confiée à un membre de l'opposition à la signature de l'accord.

"Ces concessions ont été faites pour donner à cet accord toutes les chances d'être totalement appliqué", a dit l'UNC (Opposition) Jean Baudouin Mayo.

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Pour la MP, il n'y a pas de concessions faites.


"Le fait que le chef de l'Etat reste en fonction est constitutionnel", estime Celestin Tunda Ya Kasende, cadre de la MP.

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Absent du dialogue, le Rassemblement rejette d'emblée ce compromis, qui, "ne représente pas la volonté inclusive de la population congolaise"

Pour Martin Mukonkole, "c'est un non événement".

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La société civile craint que cet accord ne concerne que ceux qui ont pris part à ce dialogue.

"Il y aura des contestations", prévient Jonas Tshombela, le président de la Nouvelle Société Civile Congolaise.

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Le pré-accord a été trouvé vers minuit au Fleuve Congo Hôtel.

La signature de cet accord en plénière dépend de l'agenda du facilitateur Edem Kodjo.