Accord à portée de mains (CENCO)
Politique
le 24/12/2016 à 12h58
"Nous avons aplani les 6 divergences, il ne reste que le toilettage de l'accord", a annoncé Mgr Utembi, le président de la CENCO selon qui "l'accord est à portée de mains"..
Même s'il n'y a formellement pas d'accord aux discussions de la CENCO, tous les points divergents ont été abordés.
- respect de la constitution
- co-gestion de la transition
- Pas de 3ème mandat ni de changement de constitution
- décrispation politique
Aucun accord conclu mais "il ne faut pas donner l'impression que les choses achoppent", prévient le secrétaire général adjoint du MLC, Alexis Lenga, qui reconnaît que sur les petits points il y a eu accord "mais c'est sur les grands points que l'on doit trouver accord".
Le Rassemblement ne bougera plus
"On a atteint un niveau de concessions qui a atteint ses limites", estime Jean-Marc Kabund A Kabund.
Le secrétaire général de l'UDPS pense qu'il faut notamment :
- revoir le bureau de la CENI
- gestion consensuelle de la transition jusqu'au niveau des provinces
"Nous avons beaucoup concédé, maintenant que nous avons accepté l'inacceptable, nous ne pouvons plus reculer. Les divergences sont de taille", estime le secrétaire général de la CENI car "Corneille Nangaa ne peut rester à la tête de la centrale électorale, il n'inspire plus confiance".
Les travaux ont été suspendus, les délégués devraient se retrouver jeudi.
Même s'il n'y a formellement pas d'accord aux discussions de la CENCO, tous les points divergents ont été abordés.
- respect de la constitution
- co-gestion de la transition
- Pas de 3ème mandat ni de changement de constitution
- décrispation politique
Aucun accord conclu mais "il ne faut pas donner l'impression que les choses achoppent", prévient le secrétaire général adjoint du MLC, Alexis Lenga, qui reconnaît que sur les petits points il y a eu accord "mais c'est sur les grands points que l'on doit trouver accord".
Le Rassemblement ne bougera plus
"On a atteint un niveau de concessions qui a atteint ses limites", estime Jean-Marc Kabund A Kabund.
Le secrétaire général de l'UDPS pense qu'il faut notamment :
- revoir le bureau de la CENI
- gestion consensuelle de la transition jusqu'au niveau des provinces
"Nous avons beaucoup concédé, maintenant que nous avons accepté l'inacceptable, nous ne pouvons plus reculer. Les divergences sont de taille", estime le secrétaire général de la CENI car "Corneille Nangaa ne peut rester à la tête de la centrale électorale, il n'inspire plus confiance".
Les travaux ont été suspendus, les délégués devraient se retrouver jeudi.