Il assure que "les malles (des items) sont déployées dans toutes les provinces éducationnnelles. Et au moment où je vous, toutes les malles sont arrivées dans les centres de passation".

Néanmoins, reconnaît-il, "il y a eu de petits problèmes au Nord-Kivu au centre de Burungu. Des malles ont été brûlées. Des inciviques se sont attaqués à un poste de Police où était gardé la malle de l'examen d'État. Mais, nous avons pris des dispositions. Nous avons reproduit d'autres questionnaires qui sont arrivés. Il n'y donc pas d'inquiétudes de ce côté-là".

Toujours est-il que l’inspecteur général de l’EPST dit attendre les dispositions qui seront prises par les inspecteurs principaux provinciaux. L’annulation de l’examen peut être envisagée au cas où le déplacement des élèves sera rendu impossible suite à l’insécurité. 

Pour le moment, indique Jacques Odia,  "il y a (plutôt) inquiétude du côté de l'Angola. Les malles pour les villes de Cabinda et Luanda ne sont parties que" le vendredi 15 juillet.

"Mais je sais que la route est bonne et comme le visa a été accordé à notre émissaire, je crois qu'il n'y aura pas non plus de problème", tente-t-il de rassurer. 

Environ 930 000 élèves finalistes participeront à ces épreuves en vue d'obtention d'un diplôme de fin d'études secondaires.