Il n'existe plus de journaliers à la SNEL (DDK)
"Les journaliers n'existent plus à la Société nationale d'électricité (SNEL). On les appelle journaliers par manque de terme. C'est soit vous êtes agents SNEL, soit vous l'êtes pas", révèle le directeur du Département de distribution de Kinshasa (DDK), invité du Magazine Le Débat sur TOP CONGO FM.
"Nous sommes en train de voir avec les autorités politico-administratives comment mettre fin à ces cas litigieux. Ce sont des gens qui ont fait le test, ont échoué et n'ont pas été retenus".
Alain Bokele révèle également que "la SNEL n'envoie pas les gens demander de l'argent afin de faire un travail pour lequel ils sont payés. Il faut les dénoncer. Les agents viennent avec un ordre de travail, un ordre de mission et une carte de service qu'ils peuvent exhiber. Il faut les exiger".
Alors la pratique est courante dans tous les quartiers à Kinshasa, Alain Bokele insiste sur le fait que "la SNEL n'autorise pas ses agents à collecter l'argent cotisé dans le quartier ou sur une avenue pour réparer le courant. La SNEL ne demande jamais aux clients d'acheter un câble. Le principe est que quand un câble pete, il faut venir à la SNEL. Le Chef de cabine du quartier n'existent pas".