Nouveau gouvernement au plus tard le 14 novembre
Politique
le 08/11/2016 à 12h11
Une erreur s'est glissée dans la rédaction de l'article.
Il s'agit bien du 14 novembre et NON du 5 décembre (21 jours après le 24 octobre).
Alors qu'il était attendu au plus tard demain mercredi, "le nouveau gouvernement sera mis en place 21 jours après le 24 octobre, date de la remise de l'accord politique au president Joseph Kabila", a annoncé ce mardi le bureau du dialogue.
Signé le 18 octobre dernier, l'accord politique prévoyait la mise en place du nouveau gouvernement aujourd'hui mardi 8 novembre, "21 jours après la signature de l'accord".
Le président Kabila respectera "l'intégralité" de "toutes les dispositions" de l'accord issu du dialogue, a déclaré Alexis Thambwe Mwamba (MP) en conférence de presse commune ce mardi à Kinshasa.
Signé le 18 octobre dernier, l'accord politique prévoyait la mise en place du nouveau gouvernement aujourd'hui mardi 8 novembre, "21 jours après la signature de l'accord".
Le président Kabila respectera "l'intégralité" de "toutes les dispositions" de l'accord issu du dialogue, a déclaré Alexis Thambwe Mwamba (MP) en conférence de presse commune ce mardi à Kinshasa.
https://soundcloud.com/user-767523546/thambwe-accord
"On ne peut pas demander au président Kabila d'appliquer un accord dont il n'avait pas connaissance", d'ajouter Vital Kamerhe.
La CENCO applique l'accord
Les consultations actuelles menées par la CENCO sont "le début de l'application de l'accord" (Article 24 - clause d'inclusivité), estime le président de l'UNC (Opposition) qui s'est retrouvé en contradiction avec certains délégués au dialogue selon qui "ce n'est pas ce que nous avons signé".
"On ne peut pas demander au président Kabila d'appliquer un accord dont il n'avait pas connaissance", d'ajouter Vital Kamerhe.
La CENCO applique l'accord
Les consultations actuelles menées par la CENCO sont "le début de l'application de l'accord" (Article 24 - clause d'inclusivité), estime le président de l'UNC (Opposition) qui s'est retrouvé en contradiction avec certains délégués au dialogue selon qui "ce n'est pas ce que nous avons signé".