Monusco, « bouc émissaire » des autorités congolaises.
UN
le 29/01/2018 à 13h57
« C’est toujours facile quand les choses ne vont pas bien dessayer davoir un bouc émissaire et les forces des nations unies sont souvent des boucs émissaires », répond le secrétaire général de l’ONU aux accusations du président Kabila.
« Ce qu’il nous faut c’est d’avoir des élections à la fin de l’année.., et que la constitution soit respectée », estime Antonio Gutteres (Photo) qui promet « de façon loyale et ouverte, de faire que ces conditions soient remplies ».
En conférence de presse, vendredi 26 janvier, le président Kabila avait épinglé la mission onusienne présente en RDC depuis près de 20 ans.
« On doit clarifier nos relations avec la MONUSCO car après 20 ans, on a l’impression qu’elle a comme mission de rester ».
(Avec AFP)