Le profil du futur premier ministre
Politique
le 13/01/2017 à 12h24
Délégués de la MP, majorité présidentielle, de l’opposition et de la société civile, planchent sur "celui qui sera le plus compétent pour conduire la RDC aux élections".
Selon la MP
Pour la Majorité présidentielle, il doit être "non-conflictuel, rassembleur, conciliateur, fédérateur et être d'une forte probité morale..., être au moins licencié et justifié d’une expérience professionnelle".
Le futur locataire de la primature devrait pouvoir mener à bien le programme d’action du gouvernement, dont le principal objectif est l'organisation des élections.
Selon l'Opposition au dialogue
D'une position similaire à la MP, l'opposition signataire de l’Accord du 18 octobre, exige en plus, "une expérience de 5 ans minimum, la notoriété nationale et internationale et une parfaite maîtrise des questions économiques et financières".
Conciliant et rassembleur devra être le prochain premier ministre.
L'opposition républicaine ajouté même "non conflictuel, bon gestionnaire, avoir une expérience managériale et politique... et être un homme de parole".
L'avis du Rassemblement
"Compétence et probité morale", le futur premier ministre doit, selon la partie dont il sera issue, doit aussi avoir une forte personnalité, une expérience politique et managériale et un esprit ouvert.
Doit être crédible et patriote.
Un seul point d'accord
Comme indiqué lors de la présentation en exclusivité par TOP CONGO des avis du MLC et Alliés, le parti de Jean-Pierre Bemba n’a pas dressé de portrait robot du futur premier ministre.
Se limitant à dire que le Rassemblement doit choisir le candidat.
Pour la société civile, bonne moralité, non conflictuel et expérience sont les trois critères à prendre en compte.
Aucun consensus ne pointe encore à l'horizon sauf (seul point d'accord) qu’il doit être de nationalité congolaise.
Logique au regard de l'histoire très récente de la RDC.
Selon la MP
Pour la Majorité présidentielle, il doit être "non-conflictuel, rassembleur, conciliateur, fédérateur et être d'une forte probité morale..., être au moins licencié et justifié d’une expérience professionnelle".
Le futur locataire de la primature devrait pouvoir mener à bien le programme d’action du gouvernement, dont le principal objectif est l'organisation des élections.
Selon l'Opposition au dialogue
D'une position similaire à la MP, l'opposition signataire de l’Accord du 18 octobre, exige en plus, "une expérience de 5 ans minimum, la notoriété nationale et internationale et une parfaite maîtrise des questions économiques et financières".
Conciliant et rassembleur devra être le prochain premier ministre.
L'opposition républicaine ajouté même "non conflictuel, bon gestionnaire, avoir une expérience managériale et politique... et être un homme de parole".
L'avis du Rassemblement
"Compétence et probité morale", le futur premier ministre doit, selon la partie dont il sera issue, doit aussi avoir une forte personnalité, une expérience politique et managériale et un esprit ouvert.
Doit être crédible et patriote.
Un seul point d'accord
Comme indiqué lors de la présentation en exclusivité par TOP CONGO des avis du MLC et Alliés, le parti de Jean-Pierre Bemba n’a pas dressé de portrait robot du futur premier ministre.
Se limitant à dire que le Rassemblement doit choisir le candidat.
Pour la société civile, bonne moralité, non conflictuel et expérience sont les trois critères à prendre en compte.
Aucun consensus ne pointe encore à l'horizon sauf (seul point d'accord) qu’il doit être de nationalité congolaise.
Logique au regard de l'histoire très récente de la RDC.