« Le président Tshisekedi doit aussi nommer des politiques » (CONDOR)
Politique
le 14/03/2020 à 19h30
« Quand est-ce qu’un politique devient technocrate et quand est-ce qu’un technocrate devient un politicien », s’interroge le président de la CONDOR, convention nationale des démocrates pour un ordre nouveau, allié de l’UDPS.
Gabin Tshiteya réagit à l’annonce des leaders FCC et CACH, Felix Tshisekedi et Joseph Kabila qui « ont convenu de privilégier les critères de compétence et d’intégrité morale à celui d’appartenance politique » dans la nomination des mandataires à la tête des entreprises publiques « pour ainsi éviter la politisation du portefeuille de l’état, outil important pour la gouvernance du pays ».
L’intégrité morale est très capitale, souligne Gabin Tshiteya toute comme la compétence, mais « nous avons déjà connu beaucoup de déception avec des cadres de certaines entreprises devenus des mandataires publics ».
En tant que politique, Gabin Tshiteya dit défendre le fait qu’il existe dans la classe politique des compétences à faire valoir d’autant plus que « nous nous sommes sacrifiés pour avoir aujourd’hui un pouvoir qui a comme prérogatives de s’attaquer aux anti valeurs ».
Pour lui, « il n’y a donc pas de raison » d’écarter certains profils du simple fait qu’ils sont des hommes politiques.
Gabin Tshiteya demande donc au président de la république de revoir sa position, « comme on a toujours dit le peuple d’abord, il faudra surtout insister sur des personnes d’une bonne moralité »
Gabin Tshiteya réagit à l’annonce des leaders FCC et CACH, Felix Tshisekedi et Joseph Kabila qui « ont convenu de privilégier les critères de compétence et d’intégrité morale à celui d’appartenance politique » dans la nomination des mandataires à la tête des entreprises publiques « pour ainsi éviter la politisation du portefeuille de l’état, outil important pour la gouvernance du pays ».
L’intégrité morale est très capitale, souligne Gabin Tshiteya toute comme la compétence, mais « nous avons déjà connu beaucoup de déception avec des cadres de certaines entreprises devenus des mandataires publics ».
En tant que politique, Gabin Tshiteya dit défendre le fait qu’il existe dans la classe politique des compétences à faire valoir d’autant plus que « nous nous sommes sacrifiés pour avoir aujourd’hui un pouvoir qui a comme prérogatives de s’attaquer aux anti valeurs ».
Pour lui, « il n’y a donc pas de raison » d’écarter certains profils du simple fait qu’ils sont des hommes politiques.
Gabin Tshiteya demande donc au président de la république de revoir sa position, « comme on a toujours dit le peuple d’abord, il faudra surtout insister sur des personnes d’une bonne moralité »