Le premier ministre sera connu le 5 février
Politique
le 27/01/2017 à 10h18
Les délégués au centre interdiocesain qui ont conclu jeudi soir un accord sur la répartition des ministres au sein du futur gouvernement, se disent satisfaits du résultat obtenu.
Un moment bloqués au souhait d'une présence plus importante de l'opposition au dialogue au sein du futur exécutif, MP et Rassemblement se sont convenus d'augmenter l'effectif gouvernemental.
Le prix à payer pour plus d'inclusivité
"Pour que les violons s'accordent..., des gens qui sont actuellement au gouvernement ne se retrouvaient pas", le Rassemblement affirme que "nous devions nous faire violence pour augmenter légèrement la taille du gouvernement", a dit à TOP CONGO FM, Martin Fayulu (photo).
"C'était la variable qu'on pouvait bouger. Avec cette augmentation de la taille du gouvernement, on s'est mis d'accord sur le nombre pour chaque composante".
Selon Martin Fayulu, "le premier ministre doit être présenté le 5 février".
Une solution de paix
"Ma satisfaction est qu'on arrive à une solution de paix", a dit à TOP CONGO FM, Me Marie-Madeleine Kalala (Société Civile).
"Je ne vais pas dire que la Société civile, par la façon dont il y a eu répartition, est satisfaite. Mais, nous le disons toujours, si c'est au nom de l'inclusivité et de la cohésion nationale que les choses se font, tant mieux. Nous ne pouvons qu'accompagner et soutenir cela".
Et la décrispation?
"La question fait partie intégrante de l'accord du 31 décembre et ça fera également partie de l'arrangement particulier", annonce aussi Marie-Madeleine Kalala.
"Nous allons avancer concomitamment avec la mise en oeuvre de ces deux décisions politiques. Mais aussi nous allons veiller à ce qu'il y ait le respect des engagements pris par rapport à la decrispation politique. C'est l'un des facteurs d'ailleurs qui devra sécuriser l'exécution de cet accord".
Pour elle, il faut aussi "tenir compte de la répartition équitable et effective des postes eu égard aux femmes et aux jeunes. C'est écrit et ça sera encore une fois écrit dans l'arrangement particulier. C'est là où je parle de l'exécution de bonne foi des décisions que nous prenons".
Un moment bloqués au souhait d'une présence plus importante de l'opposition au dialogue au sein du futur exécutif, MP et Rassemblement se sont convenus d'augmenter l'effectif gouvernemental.
Le prix à payer pour plus d'inclusivité
"Pour que les violons s'accordent..., des gens qui sont actuellement au gouvernement ne se retrouvaient pas", le Rassemblement affirme que "nous devions nous faire violence pour augmenter légèrement la taille du gouvernement", a dit à TOP CONGO FM, Martin Fayulu (photo).
"C'était la variable qu'on pouvait bouger. Avec cette augmentation de la taille du gouvernement, on s'est mis d'accord sur le nombre pour chaque composante".
Selon Martin Fayulu, "le premier ministre doit être présenté le 5 février".
Une solution de paix
"Ma satisfaction est qu'on arrive à une solution de paix", a dit à TOP CONGO FM, Me Marie-Madeleine Kalala (Société Civile).
"Je ne vais pas dire que la Société civile, par la façon dont il y a eu répartition, est satisfaite. Mais, nous le disons toujours, si c'est au nom de l'inclusivité et de la cohésion nationale que les choses se font, tant mieux. Nous ne pouvons qu'accompagner et soutenir cela".
Et la décrispation?
"La question fait partie intégrante de l'accord du 31 décembre et ça fera également partie de l'arrangement particulier", annonce aussi Marie-Madeleine Kalala.
"Nous allons avancer concomitamment avec la mise en oeuvre de ces deux décisions politiques. Mais aussi nous allons veiller à ce qu'il y ait le respect des engagements pris par rapport à la decrispation politique. C'est l'un des facteurs d'ailleurs qui devra sécuriser l'exécution de cet accord".
Pour elle, il faut aussi "tenir compte de la répartition équitable et effective des postes eu égard aux femmes et aux jeunes. C'est écrit et ça sera encore une fois écrit dans l'arrangement particulier. C'est là où je parle de l'exécution de bonne foi des décisions que nous prenons".