Le jeune drépanocytaire Mike Kambilo, désormais pris en charge à Monkole
Santé
le 17/08/2019 à 15h29
Mike Kambilo est désormais pris en charge par l'hôpital de Monkole. C'est ce qui a été décidé à l'issue d'une réunion technique tenue entre les membres du bureau de la première dame, le médecin directeur du centre de medecine mixte et d'anémie SS (CNMASS) et un expert en médecine de famille.
Son témoignage sur sa vie de drépanocytaire n'a pas laissé les cœurs sensibles dans l'indifférence. L'histoire du jeune garçon drépanocytaire Mike Kambilo, qui est passé sur les ondes de TOP CONGO, a affecté plusieurs personnalités du pays parmi lesquelles l'épouse du chef de l'État. Denise Nyakeru, à travers ses services, a pris le dossier en main.
C'est à l'issue d'une réunion de près de deux heures que la grande nouvelle est tombée . Mike Kambilo est désormais suivie par le centre hospitalier Monkole , une structure sanitaire située dans la commune de Mont Ngafula et spécialisée dans la prise en charge et le suivi des drépanocytaires. Docteur Jeanine Kimboko, médecin directeur au CNMASS, qui a pris part à la réunion, précise que le bilan sanitaire de Mike Kambilo doit être refait pour une bonne prise en charge.
Elle précise par ailleurs que Mike est un cas particulier. Le sujet drépanocytaire venait de temps en temps au Centre appelé aussi Hopital de Mabanga mais n'était pas documenté.
"C’est un enfant qui est arrivé chez nous vers mai-juin à l’issue de la visite de la première dame. Au début du mois d’août, Mike est venu au près de l’équipe médicale demandant un dossier sur demande du ministre de la santé sortant, mais n’ayant pas un dossier administratif chez nous, nous avions proposé de le lui en constituer et de refaire son bilan sanitaire mais l’enfant nous a montré des clichés datant de 2016. N’ayant pas d’équipements adéquats, nous l’avons référé vers l’hôpital Maman Yemo pour que l’hôpital puisse se faire une idée de l’état exact de l’enfant. Malheureusement, il n’est pas revenu avec un bilan et peu de temps après, nous serons réveillés par les ondes de Top Congo avec son histoire", relève-t-elle.
"Le travail ne s'arrête pas avec Mike Kambilo. L'option levée ce jour est la recherche de tous les enfants drépanocytaires et non pris en charge, des enfants qui n'ont pas eu la chance de raconter leur histoire à travers les médias", annonce le cabinet de la première dame.
Au regard de ce qui précède, il faut des solutions durables notamment la sensibilisation sur la drépanocytose mais surtout sur le risque lié au mariage AS-AS, c'est-à-dire dire l'union des conjoints porteurs des gènes responsables de la drépanocytose.
C'est à l'issue d'une réunion de près de deux heures que la grande nouvelle est tombée . Mike Kambilo est désormais suivie par le centre hospitalier Monkole , une structure sanitaire située dans la commune de Mont Ngafula et spécialisée dans la prise en charge et le suivi des drépanocytaires. Docteur Jeanine Kimboko, médecin directeur au CNMASS, qui a pris part à la réunion, précise que le bilan sanitaire de Mike Kambilo doit être refait pour une bonne prise en charge.
Elle précise par ailleurs que Mike est un cas particulier. Le sujet drépanocytaire venait de temps en temps au Centre appelé aussi Hopital de Mabanga mais n'était pas documenté.
"C’est un enfant qui est arrivé chez nous vers mai-juin à l’issue de la visite de la première dame. Au début du mois d’août, Mike est venu au près de l’équipe médicale demandant un dossier sur demande du ministre de la santé sortant, mais n’ayant pas un dossier administratif chez nous, nous avions proposé de le lui en constituer et de refaire son bilan sanitaire mais l’enfant nous a montré des clichés datant de 2016. N’ayant pas d’équipements adéquats, nous l’avons référé vers l’hôpital Maman Yemo pour que l’hôpital puisse se faire une idée de l’état exact de l’enfant. Malheureusement, il n’est pas revenu avec un bilan et peu de temps après, nous serons réveillés par les ondes de Top Congo avec son histoire", relève-t-elle.
"Le travail ne s'arrête pas avec Mike Kambilo. L'option levée ce jour est la recherche de tous les enfants drépanocytaires et non pris en charge, des enfants qui n'ont pas eu la chance de raconter leur histoire à travers les médias", annonce le cabinet de la première dame.
Au regard de ce qui précède, il faut des solutions durables notamment la sensibilisation sur la drépanocytose mais surtout sur le risque lié au mariage AS-AS, c'est-à-dire dire l'union des conjoints porteurs des gènes responsables de la drépanocytose.
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