Georges Foreman en RDC en décembre, 45 ans après
Sport
le 19/08/2019 à 21h41
Adversaire de Mohammed Ali du « Rumble in the Jungle », combat du siècle pour le titre de champion du monde poids lourds de boxe, qui s’est tenu à Kinshasa dans la nuit du 29 au 30 octobre 1974, George Foreman annonce son arrivée en RDC.
A l’occasion de l’inauguration du stade du 20 mai (aujourd’hui Tâta Raphaël), réhabilité par DIVO INTERNATIONAL, celui qui déclare à TOP CONGO FM vouloir prendre sa revanche, a conclu d’être à Kinshasa où il devrait « annoncer à deux grands événements sportifs majeurs qu’il parrainera personnellement ».
Excité à l’idée d’être à Kinshasa
« Je suis excité à l'idée de retourner pour la première fois en RDC, 45 ans après », déclare l’ancien champion de boxe, en recevant Deo Kasongo (photo) dans sa résidence de Houston (USA).
Un retour pour de bonnes œuvres avec quand même un pincement au cœur pour l’homme aujourd’hui âgé de 70 ans, sans son adversaire, décédé depuis le 3 juin 2016.
« J’aurais du gagner ce match, je veux une revanche », a dit le champion sous le signe du souvenir.
Un stade flambant neuf
« J’ai rencontré des gens dans ma vie, mais c’était une des plus belles (rencontre) », a dit à TOP CONGO FM, Deo Kasongo pour qui sa rencontre avec George Foreman était « un inoubliable moment ».
Le 7 décembre, le stade Tata Raphaël fera peau neuve, « on termine d’abord la partie stade de football et la piste athlétique », avait annoncé le manager de Divo international, lors d’une conférence de presse diffusée en direct sur TOP CONGO FM.
Inauguré sous le nom de stade Roi Baudouin en 1952, renommé du 20 Mai en 1967, il fut à nouveau renommé en 1997 du nom du père belge Raphaël de la Kethule de Ryhove, fondateur de l'Union sportive de Léopoldville.
A l’occasion de l’inauguration du stade du 20 mai (aujourd’hui Tâta Raphaël), réhabilité par DIVO INTERNATIONAL, celui qui déclare à TOP CONGO FM vouloir prendre sa revanche, a conclu d’être à Kinshasa où il devrait « annoncer à deux grands événements sportifs majeurs qu’il parrainera personnellement ».
Excité à l’idée d’être à Kinshasa
« Je suis excité à l'idée de retourner pour la première fois en RDC, 45 ans après », déclare l’ancien champion de boxe, en recevant Deo Kasongo (photo) dans sa résidence de Houston (USA).
Un retour pour de bonnes œuvres avec quand même un pincement au cœur pour l’homme aujourd’hui âgé de 70 ans, sans son adversaire, décédé depuis le 3 juin 2016.
« J’aurais du gagner ce match, je veux une revanche », a dit le champion sous le signe du souvenir.
Un stade flambant neuf
« J’ai rencontré des gens dans ma vie, mais c’était une des plus belles (rencontre) », a dit à TOP CONGO FM, Deo Kasongo pour qui sa rencontre avec George Foreman était « un inoubliable moment ».
Le 7 décembre, le stade Tata Raphaël fera peau neuve, « on termine d’abord la partie stade de football et la piste athlétique », avait annoncé le manager de Divo international, lors d’une conférence de presse diffusée en direct sur TOP CONGO FM.
Inauguré sous le nom de stade Roi Baudouin en 1952, renommé du 20 Mai en 1967, il fut à nouveau renommé en 1997 du nom du père belge Raphaël de la Kethule de Ryhove, fondateur de l'Union sportive de Léopoldville.
Un gala de boxe à l’occasion
L’inauguration se déroulera en bonne harmonie avec la fédération congolaise de boxe.
« DIVO avait bien adressé une lettre à la fédération de boxe, qui lui recommande dans un courrier d’entrer en contact avec son secrétariat général », prévient l’organisation après la déclaration de cette dernière suite à l’annonce de la tenue d’un gala de boxe commémoratif des 45 ans du combat du siècle.
« DIVO est respectueux des lois du pays » et dit aujourd’hui « saluer le bon sens de la fédération ».
« DIVO avait bien adressé une lettre à la fédération de boxe, qui lui recommande dans un courrier d’entrer en contact avec son secrétariat général », prévient l’organisation après la déclaration de cette dernière suite à l’annonce de la tenue d’un gala de boxe commémoratif des 45 ans du combat du siècle.
« DIVO est respectueux des lois du pays » et dit aujourd’hui « saluer le bon sens de la fédération ».