Grâce présidentielle pour « Eddy Kapend et consorts ».
Justice
le 01/01/2021 à 12h08
Condamné à la peine de mort pour l’assassinat de l’ancien président Laurent-Desire Kabila, son ex-aide vient d’être libéré suite à une ordonnance portant mesure collective de grâce présidentielle rendue publique à l’occasion de la fin de l’année, sur proposition du vice ministre de la justice, faisant fonction de vice-premier ministre.
Après plus de 20 ans de détention, Eddy Kapend (photo) dont la condamnation avait été longtemps décriée par beaucoup qui le considéraient comme un bouc émissaire, qui serait le plus grand bénéficiaire de cette mesure, recouvre une liberté qui s’est organisée en 2 temps.
De la peine de mort à la liberté.
La 30 juin 2020, le président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Tshisekedi, avait annoncé la commutation de leurs sentences et des grâces collectives pour des centaines de prisonniers.
Condamné à la peine de mort, Eddy Kapend ne pouvait pas bénéficier d’une quelconque grâce mais sortait de ce statut pour ne plus être que condamné à la prison à perpétuité.
Peine qui le rend donc éligible désormais à la mesure exceptionnelle appliquée aujourd’hui.
Eddy Kapend et ses co-condamnés, jugés coupables devant un tribunal militaire en 2001, sont donc théoriquement libres après avoir fait plus de 20 ans en prison.
Après plus de 20 ans de détention, Eddy Kapend (photo) dont la condamnation avait été longtemps décriée par beaucoup qui le considéraient comme un bouc émissaire, qui serait le plus grand bénéficiaire de cette mesure, recouvre une liberté qui s’est organisée en 2 temps.
De la peine de mort à la liberté.
La 30 juin 2020, le président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Tshisekedi, avait annoncé la commutation de leurs sentences et des grâces collectives pour des centaines de prisonniers.
Condamné à la peine de mort, Eddy Kapend ne pouvait pas bénéficier d’une quelconque grâce mais sortait de ce statut pour ne plus être que condamné à la prison à perpétuité.
Peine qui le rend donc éligible désormais à la mesure exceptionnelle appliquée aujourd’hui.
Eddy Kapend et ses co-condamnés, jugés coupables devant un tribunal militaire en 2001, sont donc théoriquement libres après avoir fait plus de 20 ans en prison.
